AMO projet de mandat, de mi-mandat ou projet de territoire

Pour les établissements publics de coopération intercommunale, les projets de territoires deviennent la norme depuis la mise en place de la loi NOTRe.

Ces projets à échelle de 5 à 10 ans sont avant tout des documents de travail pour le conseil communautaire et les DG des intercommunalités.

Pour autant, ces documents méritent largement d’être explicités auprès des habitants des territoires. L’avenir de leur environnement les concernant directement, un travail de communication pédagogique peut contribuer activement à l’intérêt que les citoyens portent à l’échelon intercommunal, souvent méconnu.

Produire une version grand public de ce projet de territoire va donc avoir de nombreuses vertus :

• Pour les élus municipaux, cela permet de mieux appréhender les grandes compétences et objectifs communautaires, qui semblent parfois lointain. La version travaillée du projet de territoire permet dans ce cas de s’approprier les enjeux de toute l’intercommunalité, auprès des relais précieux que sont les conseillers municipaux.
• Pour les citoyens, le document de communication autour du projet de territoire permet de mieux cerner les enjeux qui seront prioritaires pour leur environnement direct à court et moyen terme. L’explicitation des sujets et la pédagogie est donc cruciale pour faire adhérer autour des compétences des EPCI.
• Pour les forces vives (entreprises et associations), ce document permet de comprendre où les efforts sont portés. Cela permet en outre (si les enjeux sont bien expliquer) de favoriser des synergies avec le tissu des acteurs locaux. Une richesse découle inévitablement de ce partage de savoir et d’engagement dans les territoires !

Exemple de conception d’une campagne de communication complète autour d’un projet de territoire.

Plus politique qu’institutionnel, le bilan de mi-mandat permet à l’exécutif d’une collectivité de rendre compte des actions en cours.

Le bilan de mi-mandat va avoir une double vocation de traduction des enjeux politiques de la commune ou de l’intercommunalité, mais aussi d’évaluation réaliste des actions déjà menées ou encore des nouveautés apportées en cours de mandat.

Ces principales caractéristiques sont les suivantes :

• Evaluer les progrès réalisés par la mairie ou l’EPCI, en se basant sur la profession de foi de l’exécutif élu en début de mandat.
• Identifier les réalisations achevées, sans omettre les projets nés de manière contextuelle (récemment la période de la COVID-19 a beaucoup bousculé les calendriers des établissements publics) , ainsi que les défis et les difficultés rencontrés.
• Expliciter les budgets alloués, en fonctionnement et en investissement. Expliquer les répartitions entre les différents pôles et dossiers prioritaires. Cela permet concrètement de rassurer les contribuables quant à la manière dont les impôts sont utilisés.
• Evaluer de manière chiffrée et objective les services à la population, en rendant compte des résultats aux enquêtes menées auprès des familles utilisatrices des services. Il est également important de montrer que les élus ne font pas l’impasse sur les retours négatifs ou neutres, et prennent en compte les retours pour améliorer les services d’année en année.
• Faire des recommandations pour l’avenir, en termes de priorités, d’objectifs et de stratégies à adopter pour le reste du mandat.

La préparation des bilans de mandat est le dernier élément du triptyque des documents de communication publique mêlant l’institutionnel et le politique.

La préparation d’un bilan de mandat pour une commune ou une intercommunalité implique généralement de préparer les éléments éditoriaux suivants :

1. Toutes les données recueillis compétence par compétence, sur les réalisations, les objectifs fixés et les résultats obtenus, ainsi que les finances. Touts ces éléments doivent être mis en perspective par rapport à l’avenir du territoire à moyen et long terme.
2. Une fois les données récoltées, un examen approfondi par secteur est nécessaire, afin de mettre en évidence les réussites et les difficultés de la commune ou de l’intercommunalité. Cette analyse se fait en lien avec les objectifs fixés en début de mandat.
3. Le bilan est ensuite rédigé sous une forme adaptée à la population, à son âge et sa configuration sociologique. La présentation de ce bilan peut prendre des formes très multiples en fonction des budgets alloués et de la sociologie de la population locale.

Dans ce domaine particulier, Collectiv’image peut vous apporter son expertise pour faire les choix les mieux adaptés à votre contexte communal ou intercommunal.

Pour les établissements publics de coopération intercommunale, les projets de territoires deviennent la norme depuis la mise en place de la loi NOTRe.

Ces projets à échelle de 5 à 10 ans sont avant tout des documents de travail pour le conseil communautaire et les DG des intercommunalités.

Pour autant, ces documents méritent largement d’être explicités auprès des habitants des territoires. L’avenir de leur environnement les concernant directement, un travail de communication pédagogique peut contribuer activement à l’intérêt que les citoyens portent à l’échelon intercommunal, souvent méconnu.

Produire une version grand public de ce projet de territoire va donc avoir de nombreuses vertus :

• Pour les élus municipaux, cela permet de mieux appréhender les grandes compétences et objectifs communautaires, qui semblent parfois lointain. La version travaillée du projet de territoire permet dans ce cas de s’approprier les enjeux de toute l’intercommunalité, auprès des relais précieux que sont les conseillers municipaux.
• Pour les citoyens, le document de communication autour du projet de territoire permet de mieux cerner les enjeux qui seront prioritaires pour leur environnement direct à court et moyen terme. L’explicitation des sujets et la pédagogie est donc cruciale pour faire adhérer autour des compétences des EPCI.
• Pour les forces vives (entreprises et associations), ce document permet de comprendre où les efforts sont portés. Cela permet en outre (si les enjeux sont bien expliquer) de favoriser des synergies avec le tissu des acteurs locaux. Une richesse découle inévitablement de ce partage de savoir et d’engagement dans les territoires !

Exemple de conception d’une campagne de communication complète autour d’un projet de territoire.

Plus politique qu’institutionnel, le bilan de mi-mandat permet à l’exécutif d’une collectivité de rendre compte des actions en cours.

Le bilan de mi-mandat va avoir une double vocation de traduction des enjeux politiques de la commune ou de l’intercommunalité, mais aussi d’évaluation réaliste des actions déjà menées ou encore des nouveautés apportées en cours de mandat.

Ces principales caractéristiques sont les suivantes :

• Evaluer les progrès réalisés par la mairie ou l’EPCI, en se basant sur la profession de foi de l’exécutif élu en début de mandat.
• Identifier les réalisations achevées, sans omettre les projets nés de manière contextuelle (récemment la période de la COVID-19 a beaucoup bousculé les calendriers des établissements publics) , ainsi que les défis et les difficultés rencontrés.
• Expliciter les budgets alloués, en fonctionnement et en investissement. Expliquer les répartitions entre les différents pôles et dossiers prioritaires. Cela permet concrètement de rassurer les contribuables quant à la manière dont les impôts sont utilisés.
• Evaluer de manière chiffrée et objective les services à la population, en rendant compte des résultats aux enquêtes menées auprès des familles utilisatrices des services. Il est également important de montrer que les élus ne font pas l’impasse sur les retours négatifs ou neutres, et prennent en compte les retours pour améliorer les services d’année en année.
• Faire des recommandations pour l’avenir, en termes de priorités, d’objectifs et de stratégies à adopter pour le reste du mandat.

La préparation des bilans de mandat est le dernier élément du triptyque des documents de communication publique mêlant l’institutionnel et le politique.

La préparation d’un bilan de mandat pour une commune ou une intercommunalité implique généralement de préparer les éléments éditoriaux suivants :

1. Toutes les données recueillis compétence par compétence, sur les réalisations, les objectifs fixés et les résultats obtenus, ainsi que les finances. Touts ces éléments doivent être mis en perspective par rapport à l’avenir du territoire à moyen et long terme.
2. Une fois les données récoltées, un examen approfondi par secteur est nécessaire, afin de mettre en évidence les réussites et les difficultés de la commune ou de l’intercommunalité. Cette analyse se fait en lien avec les objectifs fixés en début de mandat.
3. Le bilan est ensuite rédigé sous une forme adaptée à la population, à son âge et sa configuration sociologique. La présentation de ce bilan peut prendre des formes très multiples en fonction des budgets alloués et de la sociologie de la population locale.

Dans ce domaine particulier, Collectiv’image peut vous apporter son expertise pour faire les choix les mieux adaptés à votre contexte communal ou intercommunal.